Vos questions

Je suis affiliée au dispositif MonPsy qui vous permet d’être remboursé-e à hauteur de 60 % par la Sécurité Sociale (CPAM, MSA) et le reste par votre complémentaire, pour 12 séances par année civile – au tarif unique de 50€ – sans orientation préalable par votre médecin traitant.

Chaque séance est à régler à chaque fois, en espèces ou par chèque (sauf critères particuliers définis par la Sécurité Sociale et sur justificatif présenté : CMU, ALD, AT, Maladie Pro, 6ème à 9ème mois de grossesse.

Pour vraiment écouter quelqu’un, il faut bien se taire dans un premier temps. Je procède ainsi : tantôt l’écoute active, tantôt l’attention flottante et tantôt l’expression de mes interrogations ou remarques quant à vos réactions, votre fonctionnement ou votre propre silence.

J’interviens pour que vous précisiez, exprimiez vos sentiments, émotions, et pour vous aider à relater des événements.

Je vous apporte mon soutien pour que vous vous exprimiez avec vos mots, vos pensées, comme cela vous vient.

Je n’ai pas de baguette magique dans mon travail de psychothérapeute. Il n’y a pas de solution toute prête. Rencontrer une psychologue, c’est d’abord décider de se confronter à ses difficultés personnelles et d’améliorer sa façon de vivre, de ressentir et d’agir. C’est aussi s’engager dans un processus de changement enrichissant et exigeant. Vous avez donc un effort personnel et authentique à fournir, pour verbaliser, penser, agir, changer.

Si la demande est pour vous-même, la séance, ou la psychothérapie se déroule entre vous et le psychologue uniquement.

Je ne propose pas de thérapie de couple.

Quand on analyse et comprend les mécanismes qui amènent angoisse et souffrance, on peut faire le tri entre ces mécanismes, entre les conduites que l’on a mises en place pour se protéger d’un problème. Ce qui permet de mieux se positionner  dans ses relations avec les autres et par rapport à ce qui fait souffrir dans la réalité.

Si la blessure vient du passé, j’amène le patient à accepter l’existence de cette blessure et à ne plus la revivre de façon répétitive à travers des comportements symptomatiques. Tout le fil conducteur de la psychothérapie se trouve dans l’histoire de la personne. C’est comme une pelote de laine qu’on déroule progressivement…

Changer des comportements, des attitudes, des réactions n’est pas chose facile et instantanée. Dans la plupart des cas, vous ne pourrez pas atteindre vos objectifs en une ou deux séances.

Les études menées à ce jour indiquent qu’une période de quelques mois à 1 an est généralement suffisante pour obtenir des résultats satisfaisants par rapport aux problèmes à l’origine de la consultation. Mais, la durée d’une psychothérapie dépend de la gravité et ancienneté des problèmes, et de la nature des objectifs visés, de la durée de votre adaptation (pour vous sentir à l’aise pour parler), du type d’approche thérapeutique choisi.

Vous pouvez arrêter une thérapie quand vous le voulez.

Le mieux est d’arrêter lorsque vos objectifs personnels fixés ont été en grande partie atteints. Un entretien qui clôture le travail accompli est toujours intéressant à avoir.

Le psychologue ne peut pas fonctionner comme votre médecin traitant, votre kiné ou autres professions médicales, paramédicales.

La psychologie appartient au champ des sciences humaines. La relation et la neutralité sont des critères importants : c’est pour cette raison que je ne reçois pas en psychothérapie individuelle les personnes d’un même foyer ou ayant un lien de parenté proche. Chacun doit avoir son espace pour pouvoir parler librement.

En cas de demande de séances familiales, c’est un autre cadre qui se met en place. Dans ce cas, il faut être clair dans la demande.

Le psychologue possède une formation universitaire spécialisée en sciences humaines qui a duré 5 ans. Le titre de psychologue est protégé : tous les psychologues ont obtenu leur Master 2 de psychologie (anciennement DESS ou DEA) avec en plus des stages professionnels toujours dans la filière psychologie.

Il n’est pas nécessaire d’avoir une prescription médicale pour consulter. Mais le médecin traitant peut indiquer au patient qu’il nécessite des soins auprès d’un psychologue.

Le psychiatre est un médecin qui a choisi comme spécialité la psychiatrie : il s’intéresse aux problèmes de santé mentale, qu’il soigne avec des traitements médicamenteux prescrits par lui. Il est inscrit à l’Ordre des médecins. Il utilise aussi des techniques d’entretien et parfois même de psychothérapie avec ses patients. Il peut également décider d’une hospitalisation.

Le psychothérapeute est celui qui propose des psychothérapies, mais il n’y a pas de diplôme universitaire d’état. Le titre de psychothérapeute  est utilisé sans conteste par les psychologues et psychiatres de par leur formation.

Mais prudence, car d’autres personnes utilisent l’appellation de psychothérapeute qu’elles aient ou non une formation adéquate : éthique et déontologique.

Merci de me contacter par téléphone, et de laisser un message si je suis sur messagerie (pendant mes séances). Si vous avez du mal avec le téléphone vous pouvez utiliser le formulaire de contact.

Toute séance manquée ou annulée moins de 48h avant le rendez-vous, est due.

Si vous-même ou une personne de votre entourage êtes en état de crise (comportement incontrôlable, désordonné, très agressif ou suicidaire) : contactez immédiatement le SAMU en composant le 15.

Ou bien, rendez-vous ou amenez très rapidement la personne au centre hospitalier le plus proche de chez vous.

Chaque âge a ses moyens d’expression, chaque âge nécessite l’adaptation du psychologue.

Concernant les enfants qui ne sont pas encore dans le langage, le travail se fait avec le/les parents et dans l’observation du lien parent-enfant, et autour de jeux.

Avec les enfants qui parlent, mais ne savent pas toujours dire leurs difficultés, j’utilise comme outils les jeux, le dessin, les livres, les jouets. Ma priorité est de créer un lien de confiance pour interagir ensemble,  et non de « le faire parler ».

Je rencontre toujours la personne mineure avec au moins un de ses parents au 1er entretien, et au 3ème ou 4ème entretien pour convenir de la suite à donner .

Lorsque j’accueille un adolescent, il est invité à parler. Mais il est également informé qu’il a la possibilité de jouer et de dessiner, seul ou avec moi : dans le cadre thérapeutique, ces médiations favorisent une expression des difficultés rencontrées quand elles ne peuvent pas être verbalisées directement.

Je rencontre toujours la personne mineure avec au moins un de ses parents au 1er entretien, puis au 3ème ou 4ème entretien pour convenir de la suite à donner .

Oui. Notamment quand il y a une difficulté mais que l’enfant ou l’adolescent ne souhaite pas rencontrer un psychologue.

Ou, dans certains cas, au-delà des symptômes de votre enfant il peut exister des souffrances chez vous parent(s) qu’il peut être utile d’évoquer dans des entretiens à part.

En tant que parents, fiez-vous à votre propre ressenti pour décider quand il peut être utile de s’adresser à un professionnel :

  • Quand vous avez le sentiment de devoir toujours crier
  • Quand il faut que vous répétiez cent fois la même chose sans vous faire entendre
  • Quand vous n’arrivez plus à comprendre le comportement de vos enfants
  • Quand vous ne pouvez plus parler avec vos enfants
  • Quand l’école et les devoirs empoisonnent et dégradent fortement l’ambiance à la maison
  • Quand vous vous inquiétez d’un changement dans la famille (naissance, famille recomposée, séparation)

Je reçois jeunes adultes, adultes, seniors .

Nous échangerons au cours d’un premier entretien de face à face, afin que je prenne connaissance de votre situation. Deux autres entretiens me permettront d’évaluer plus largement la problématique et son degré de complexité, avant de conclure avec vous à un démarrage d’une psychothérapie ou d’un soutien psychologique, selon votre demande.